Aujourd'hui, lumière sur le désormais-traditionnel-dans-ma-famille "Carillon des Anges", généreusement offert par mes parents à l'issue des marchés de Noël de la région.
Le principe : allumer les bougies dont la chaleur va faire tourner les pales du haut, entraînant les petits anges avec elles.
Pourquoi "carillon" ? Parce qu'à la base chaque ange est pourvu d'une petite baguette -tin- qui vient -tin- frapper les deux -tin- espèces de -tin- mini-cymbales -tin- à intervalles réguliers -tin- à mesure -tin- qu'ils tournent, -tin- produisant -tin- un tintement -tin- à première écoute -tin- fort mignonnet -tin- mais il faut -tin- bien le dire, -tin- à la longue -tin- rapidement insupportable -tin-… N'est-ce pas ? D'où prélèvement des baguettes en ce qui concerne notre specimen.
Bien entendu tout ceci est ingénieusement démontable et remontable chaque année, ça fait partie du folklore (et permet un petit entraînement au montage des châteaux Playmobil à venir…)
Mais en plus du folklore de Noël ce carillon est également auréolé d'un véritable mystère scientifique: au lieu de fondre en un magma dégoûtant, les bougies… Disparaissent (mèche comprise). Une sorte d'évaporation j'imagine… (Bien pratique pour le nettoyage hein.) Cela dit vu notre consommation de ces bougies ce mois-ci je me dis que les parois de nos poumons doivent ressembler au musée Grévin… Enfin ça peut pas être pire que la bougie parfum feu de bois (cf. BXG#11 ou plus précisément ce lien), et puis ça nous les protégera peut-être un peu de la pollution ambiante… Allez bisous !
