Alors oui je sais, j'ai une semaine d'avance sur la date officielle mais bon il n'y a qu'à jeter un œil dehors pour voir que c'est moi qui ai raison, pas le calendrier…
Et si l'arrivée de l'automne vous chagrine (bande de béotiens), comme on a tendance à dire que tout passe mieux en musique écoutez donc ce titre pas mélancolique du tout qui a la double vertu de parler (un peu) des saisons et d'avoir un clip avec plein de chevaux à l'intérieur.
Et si l'arrivée de l'automne vous chagrine (bande de béotiens), comme on a tendance à dire que tout passe mieux en musique écoutez donc ce titre pas mélancolique du tout qui a la double vertu de parler (un peu) des saisons et d'avoir un clip avec plein de chevaux à l'intérieur.
Parce que je sais pas vous mais moi le cheval c'est mon dada (contrairement à Omar pour qui c'est le tiercé (et à Homère qui aurait plutôt tendance à parler du cheval de Troie mais ça c'est une autre histoire (un peu longue d'ailleurs (enfin pas plus de 800 pages en format poche)), mouhahaha)*. Vous avez remarqué toutes ces parenthèses ? (N'essayez pas de me piéger je les ai recomptées mille fois il ne manque aucune fermeture, bon courage aux esprits de contradiction…) Comment ça je digresse ?)*
Bref, et puis comme je suis de bonne humeur car j'aime l'automne* (bah oui ça arrive à des gens très bien, la preuve), et qu'un peu de culture en plus de la musique (et des calembours douteux) ne fera de mal à personne, le poème de Victor Hugo qui a inspiré le titre de cet article est à lire ici.
*Je ne suis pas folle vous savez.
(Une référence s'est cachée ici aussi (décidément que de clins d'œil aujourd'hui) : si tu ne la trouves pas tu peux, au choix, aller t'acheter une culture ou visionner cette vidéo.)